Une vague de suppression frappe le web, avec à la clé la désindexation SEO de millions de sites web ! Google agit contre les pirates en éliminant plus de 7 milliards d’adresses suspectes. Les mangas, ces joyaux de l’animation japonaise, sont au cœur de cette bataille pour les droits d’auteur. Découvrez comment Google mène une guerre sans merci contre les contrefacteurs pour préserver l’intégrité des créations artistiques.
Mangas à haut risque : VIZ Media en première ligne
Les mangas, ces trésors de l’imaginaire nippon, sont la cible privilégiée des pirates en ligne. Parmi eux, VIZ Media se dresse en défenseur des droits d’auteur. Liée aux géants japonais Shūeisha et Shōgakukan, VIZ Media a pour mission de protéger des œuvres emblématiques comme One Piece, Naruto et The Promised Neverland, qui font l’objet de nombreuses recherches en matière de streaming. Avec pas moins de 294 millions de demandes de retrait d’URL, VIZ Media se révèle comme un atout redoutable contre le piratage de ses clients.
Des noms familiers de sites pirates font face à cette lutte : Mangapark, Mangaeden et Mangafox, pour n’en citer que quelques-uns. Z-Library est également dans le viseur, montrant que les pirates ont du souci à se faire.
Rivendell : la société française qui lutte contre le piratage (France Télévision, Studio Canal…)
Dans cette lutte acharnée, une société française se distingue : Rivendell, portant un nom qui évoque la magie de l’univers de Tolkien. À la tête de cette bataille, Hervé Lemaire dirige la société avec une mission claire : mettre fin aux abus. Près de 679 millions de procédures ont été enclenchées par Rivendell, marquant son engagement inébranlable contre le piratage.
Rivendell joue un rôle important dans la défense des éditeurs français. Partenaire de LeakID, elle œuvre en tandem pour démanteler les sites pirates qui diffusent les oeuvres de ses partenaires. Au cœur de ses clients, on trouve d’illustres noms comme Toei Animation, Studio Canal et France Télévision Distribution. Mais la bataille ne s’arrête pas là : Editis, Madrigall, Actes Sud et Hachette Livre comptent parmi les acteurs qui montent au front aux côtés de Rivendell.
Vous l’aurez compris, la bataille pour la protection des droits d’auteur fait rage, et Google est en première ligne. Les mangas et les éditeurs français ont du pain sur la planche pour éradiquer la totalité des contenus illégaux de la toile.